Mes œuvres favorites

Bonjour !

Je vais vous parler d’œuvres qui m’ont particulièrement plu et marqué, en tentant de vous expliquer pourquoi elles ont provoqué en moi tant d’émotions. J’attends bien sûr de vous de commenter l’article, en me faisant partager vos œuvres fétiches et pourquoi elles le sont !

Manga

Fullmetal Alchemist | Hiromu Arakawa

Artiste : つくだ [source]

On commence avec une œuvre particulièrement forte, il n’est pas trop de dire qu’elle a changé ma vie. FMA, de Hiromu Arakawa donc, est un manga que j’ai découvert dans ma jeunesse. Enfin, il serait plus exact de dire que j’ai découvert l’anime sur Canal+ au préalable. Ce dernier m’a donné envie de m’intéresser à la version papier. Et c’est donc ce manga, qui m’aura rendu curieux de toute la culture nippone. Il aura été un véritable déclencheur, qui fait que je m’intéresse encore aujourd’hui à cela.

Ses points forts sont bien entendu son histoire, particulièrement intense et bien écrite, mais aussi ses personnages, attachants et entiers, le tout dans un univers particulièrement riche. Il ne faut pas non plus oublier le coup de crayon de l’artiste, qui sublime la narration. Les thématiques variées qu’il aborde, comme le deuil, la guerre ou encore la famille, sont toutes écrites avec une justesse qui vous donnera des frissons. Il s’agit là d’une œuvre très complète et qui ne se perd pas. J’ai ri et pleuré, été joyeux et triste à la fois, en lisant le périple des frères Elric.

Je recommande notamment cette lecture aux non-initiés du genre. Je pense que c’est un bon moyen de débuter, l’histoire parlera à tout le monde et chacun arrivera à s’identifier à des personnages. Par ailleurs, cela peut sembler anodin, mais les noms originaux des personnages sont à consonance occidentale, ce qui, mine de rien, enlève une barrière qui peut en rebuter certains. Il n’est pas forcément aisé de se souvenir des personnages, et donc de s’y attacher, lorsque l’on a du mal à retenir quelque chose d’aussi basique que son nom. À titre personnel, j’ai énormément de difficultés à retenir les prénoms et cela m’a permis d’avoir une épine de moins dans le pied.

Rosario + Vampire | Akihisa Ikeda

Artiste : YoungChanNguyen [source]

On touche là un autre grand nom du manga, avec Rosario + Vampire d’Akihisa Ikeda. On y suit le périple de Tsukuné qui arrive bien malgré lui dans une école à l’écart du monde, au sens littéral, puisqu’il s’agit d’une école de montres, où se côtoient sorcière, loup-garou, femme des neiges, et, bien entendu, vampire avec Moka. Le manga se divise en deux saisons, la première est plus comique tandis que la seconde va plutôt virer dans le tragique. Inutile de vous dire qu’en tant que fan de mythologie, ce récit m’a beaucoup parlé et m’inspire énormément. L’histoire aborde des thématiques comme l’amitié et la différence. Cela peut paraître un peu classique, mais c’est néanmoins très bien écrit. Une autre chose, particulièrement bien réalisée, c’est le dessin, absolument splendide de l’auteur ! Les scènes d’actions notamment resteront dans les mémoires, tant les traits y sont somptueux.

Le seul pincement de cœur, ce sera son « adaptation » animée, qui est, soyons franc, une merde incommensurable. J’ai beau être fan du manga, preuve en est sa place ici, je n’ai pu finir le premier épisode. L’anime est une insulte à l’œuvre originale. Quoiqu’il en soit, le manga est et restera un incontournable, dont je ne peux là aussi, que recommander la lecture !

Littérature

Carmilla | Sheridan Le Fanu

Artiste : tilhe [source]

En tant qu’amoureux de vampires, je ne pouvais que vous citer Carmilla. On va être franc, la littérature « classique », ce n’est pas ce que je lis le plus (c’est même très, très, minoritaire). Mais ce livre fut un véritable coup cœur ! On suit la tragique histoire d’un amour interdit sur à peine plus d’une centaine de pages. Il s’agit probablement là d’une des œuvres littéraires qui m’a le plus marqué et que je ne saurais trop vous recommander !

Anime

Shisekai Yori | A-1 Pictures

Modèles/photographe : 青沼 瞬 & 渡辺 早季 / Chikara [source]

Alors là, on ne parle plus d’« une œuvre », mais de « L’Œuvre », avec un « Œ » majuscule s’il-vous-plait. À mes yeux, Shinsekai Yori est donc l’œuvre la plus aboutie que j’ai pu voir, tout support confondu. Pour moi, pas une toile, pas une sculpture, pas un film, pas un livre n’arrive à son niveau. Et pour cause, c’est probablement en visionnant cet anime que j’ai été le plus bouleversé et interrogatif. On y traite tellement de sujets, brillamment écrits et réalisés que ça en devient presque surréel. Riche et profond, Shinsekai Yori vous fera poser et réfléchir à nombre de questions. Qu’est-ce que la vie ? La mort ? Qu’est-ce que l’amitié ? L’amour ? Qu’est-ce que la servitude ? La liberté ? Qu’est-ce que la famille ? Qu’est l’obéissance ? Le pouvoir ? Qu’est-ce que le monde ? Qu’est-ce que l’éternité ? Vous allez plonger dans les tourments de nos héros, de leurs connaissances et du monde, réfléchir et vous remettre en question.

J’en conviens, c’est particulier et tout le monde ne pourra pas apprécier, on adore ou l’on déteste, pas d’entre-deux. Moi-même, j’ai eu du mal à mon premier visionnage, tellement j’étais inondé de questions et de doutes. J’en ai pratiquement pas dormi les semaines suivantes, hanté par les pensées de cet anime. Dis comme cela, ça pourrait presque faire peur, loin de moi cette idée. Il faut voir cette série, qui vous fera regarder le monde autrement. Et puis, n’oublions pas le travail visuel et sonore qui est dantesque et qui en fait une œuvre totale et des plus complètes.

Je vais m’arrêter là dans cette élocution d’amour débordant, mais vraiment, jetez-y un œil averti.

Monogatari Series | SHAFT

Artiste : WABI [source]

Là, je pense ne surprendre personne, je fais suffisamment étalage de cette série sur Twitter ou encore Discord. L’histoire se concentre sur divers personnages, notamment Araragi Koyomi, qui, par un certain concours de circonstance, deviendra un vampire. Il cherchera par la suite à résoudre nombre de soucis et phénomènes liés aux « aberrations », aidé par plusieurs amis. Clairement avant de me lancer dans le visionnage de la première saison (Bakemonogatari), je m’attendais à un truc assez classique, pas mauvais mais pas mirobolant non plus. J’ai été vite surpris par deux choses, qui menèrent au constat que, bah je m’étais planté.

Déjà, l’histoire n’est pas si classique que cela et fourmille de détails. Chaque personnage a droit à au moins un arc centré sur lui. En outre, ils sont tous très soignés, avec une histoire propre qui fonde le récit principal. Monogatari Series, ce n’est pas une trame principale, sur laquelle on greffe des personnages pour la faire avancer, mais l’exact opposé. On prend  plusieurs personnages et, leurs actions cumulées et entrelacées forment une trame narrative plus globale. C’est à mon sens, la très grande force des récits contenus dans cette série.

Le second point se situe au niveau visuel. Le « style Shaft » y apporte assurément un plus. Ce que j’appelle la « théâtralisation de l’image » permet de raconter une histoire dans l’histoire. Un dédoublement des points de vues en somme. Ces choix, faits par Shaft, permettent de donner plus de profondeur au récit et d’accentuer ce côté -histoires multiples- très présent. Je n’ai pas eu la chance de pouvoir lire le LN original, mais je pense que cette adaptation est ce qu’il y a de mieux, au regard du récit qui nous est offert.

Monogatari Series, ce sont donc des histoires, des personnages, mis en scène brillamment. La B.O. n’est pas en reste et je pourrais même faire un article dédié aux génériques, tant il y a à dire là dessus également. Si vous ne vous êtes pas encore penchés dessus, foncez ! N’ayez pas peur des nombreux épisodes déjà disponibles, cette licence en vaut la chandelle !

Jeu vidéo

Fire Emblem Awakening | Intelligent Systems & Nintendo

Artiste : SamanatorClub [source]

Avant tout, je dois vous avouer que le choix a été plus difficile à faire pour les JV, contrairement aux autres ci-dessus. J’ai notamment pas mal hésité à y glisser Dofus, un autre des opus de la saga Fire Emblem et j’avais même à l’origine commencé à écrire sur Final Fantasy Tactics A2. Vous remarquerez au passage que, oui, il ne s’agit que de RPG tactiques en tour par tour. Que voulez-vous, je suis tombé accro du genre.

L’histoire est en somme assez classique, mais saura s’étoffer au fil des chapitres, grâce principalement à ses personnages, tous (ou presque), plus géniaux les uns que les autres ! Pour moi, c’est l’un des points forts du jeu. Sans déconner, comment ne pas fondre devant Tharja ?! La mettre en couple avec Henri est probablement l’une des meilleurs idées que j’ai eu. Car oui, le système de soutien est très poussé. Plus deux unités s’entendent bien, plus vous en apprenez sur elles, leurs relations, mais aussi gagnez des bonus au cours du combat si elle sont proches. Vous pouvez donc aller jusqu’au mariage, qui donnera naissance à une progéniture, qui sera elle aussi jouable par la suite.

Autre point sur lequel on attend particulièrement un Fire Emblem, c’est son gameplay. Et là, rien à redire. Entre le nombre d’unités possibles à recruter, les spécialisations que vous pouvez leur donner, votre groupe ne ressemblera à aucun autre. Bien entendu, la mort permanente est toujours présente, mais notez qu’il est possible d’ajuster la difficulté, ce qui permettra aux moins téméraires de profiter convenablement du titre. Il ne faut pas oublier le visuel particulièrement soigné, avec un chara-design superbe, des cartes détaillées et des cinématiques époustouflantes. On en a presque du mal à croire que la 3DS peut offrir autant. La B.O. n’est pas en reste, avec des titres finement travaillés.

En fan de la licence après avoir touché à The Sacred Stones, je retrouve l’une de mes séries favorites dans un volet qui m’a conquis avec ses personnages attachants. Un jeu auquel je vous invite à jouer ou à rejouer ! Cela m’a d’ailleurs donné envie de retourner dessus, bien que n’ayant pas encore terminé les FE: Fates.

Advance Wars Dual Strike | Intelligent Systems & Nintendo

Artiste : doghateburger [source]

Là, il va falloir que je fasse appel à ma mémoire défaillante, n’ayant pas rejoué à ce jeu depuis des années. L’histoire est là aussi plutôt classique (mais pleine d’humour), mais encore une fois c’est le gameplay qui va surtout m’intéresser. Contrairement à Fire Emblem, nous ne sommes pas dans un monde fantastique, mais au contraire dans un monde plus proche du nôtre. Dans Advance Wars, vous incarnez un général (ou deux). Chaque général a une particularité propre ainsi qu’un pouvoir distinct des autres. Vous ne le jouez pas directement, puisque vos unités sont des chars d’assauts, des cuirassés ou encore des bombardiers. La gestion du contrôle du terrain est très importante, car les bâtiments présents vous permettent soit de construire des unités ou encore de gagner de l’argent, qui sert à les produire. Mais attention, aucun bien n’est acquis indéfiniment, l’ennemi peut vous le reprendre à tout moment, il faut donc bien faire attention, d’autant plus que la capture du QG signifie la fin de la partie.

Si mes souvenirs sont bons, j’ai dû passer plus de 300~350 heures sur ce jeu ! La re-jouabilité est assez grande (avec divers niveaux de difficultés) et vous pouvez même créer vos propres cartes. Ajouter à cela le fait de pouvoir jouer avec plusieurs de vos amis, notamment jusqu’à 4 sur une même console, vous n’avez pas fini de vous amuser. Visuellement, le soft est assez propre et sa B.O. est de qualité, avec un nombre de titres assez conséquent.

La saga Advance Wars a une place particulière dans mon cœur, car il s’agit du premier T-RPG auquel j’ai joué, sur la Gameboy de mon voisin. Le fait de pouvoir y jouer à deux, sur une même partie avec une seule console, était assez dingue. Ce titre m’a en quelque sorte fait retomber en enfance. Cette série est probablement moins connue que celle ci-dessus, mais elle vaut clairement le détour (même si j’avoue ne pas avoir aimé le dernier, Dark Conflict).

Cinéma

La Jetée | Chris Marker

Source : capture d’écran du film.

Alors oui, cette œuvre commence à dater, puisque sortie en 1962 ! Trente années avant ma naissance. Je l’ai découvert à la FAC, en cours d’étude du langage cinématographique. On peut dire que j’ai pris une claque violente.

D’ailleurs, il ne s’agit pas à proprement parler d’un « film », puisqu’à l’exception d’un plan, effectivement filmé, le reste est une succession de diapositives, un « photo-roman » comme se décrit lui-même le film.

Ce dernier commence avec cette phrase : « Ceci est l’histoire d’un homme marqué par une image d’enfance ». Le héros, enfant, était à l’aéroport d’Orly avec ses parents et y verra un homme se faire tuer sous les yeux d’une femme, dont il gardera en mémoire le visage. Des années plus tard, la troisième guerre mondiale éclate, détruit tout à la surface de la Terre et les survivants se réfugient dans des sous-sols. Notre héros sera utilisé comme cobaye, afin de voyager dans le passé et le futur, afin d’aider ce présent. On le choisit pour cela, grâce à son excellente mémoire visuelle et cette image forte qui l’a choqué lors de son enfance, un souvenir puissant lui permettant de résister mentalement à ce voyage.

Je ne vais pas vous en révéler plus, ce serait du gâchis, mais si vous en avez l’occasion, aller le voir, il ne dure que 28 minutes et se trouve facilement sur internet. Il est pour moi, le meilleur film de science-fiction et celui qui utilise de manière la plus brillante le voyage dans le temps.

Interstellar | Christopher Nolan

Artiste : Fleret [source]

Que dire de ce film si ce n’est l’évidence de son scénario écrit avec brio, de sa beauté visuelle et sonore. Tout dans ce film est magistral.

Sorti en 2014 et réalisé par Christopher Nolan, ce long métrage nous raconte comment Cooper, un ancien pilote de la NASA, va devoir voyager vers une autre galaxie via un trou de ver, afin de trouver un refuge pour les habitant de la Terre. En effet, la Terre n’est plus aussi accueillante pour l’Homme, un épais nuage de poussière la recouvre et les denrées alimentaires deviennent très difficiles à produire.

Un film époustouflant et surtout, vraisemblable. En effet, Nolan a collaboré avec Kip Thorne, un scientifique spécialiste des trous noirs. Cela donne de l’étoffe au tout. D’ailleurs, le modèle, réalisé pour le trou noir du film, a par la suite donné lieu à des découvertes scientifiques.

En bref, un film excellent, diablement bien réalisé et très émouvant, en particulier sur la dernière partie.

Musique

What I’ve Done | Linkin Park

[source]

S’il y a bien -un- groupe avec lequel j’ai grandi, c’est Linkin Park. J’aime vraiment toutes leurs musiques, alors j’ai sélectionné celle-ci un peu au hasard. On peut dire que ce groupe aura été novateur, particulièrement au niveau musical, où il s’est essayé à divers genres, n’hésitant pas parfois à les mêler. C’était également un groupe engagé dans les crises sociales, humanitaires et le réchauffement climatique, on peut par exemple citer leur fondation « One More Light ». En bref, un groupe musicalement intéressant et réellement engagé dans de grandes causes. Je ne vous dis pas ma tristesse lorsque j’ai appris le suicide de son chanteur principal, Chester Bennington, en juillet 2017.

Nocturne op. 9 no. 1 | Frédéric Chopin

Là encore une piste un peu prise au hasard (bon OK j’en ai pris une bien connue), mais il se trouve effectivement que je suis très admiratif des œuvres de Chopin. J’ai été assez réfractaire dans ma jeunesse à la musique dite « classique ». Ce n’est que vers la fin de mon adolescence que j’ai commencé à m’y intéresser et clairement, un nouveau monde s’est emparé de mon cœur.

Je pense que ce genre musical est fort méconnu et souffre de préjugés qui n’ont pas lieu d’être, alors s’il vous plait, prenez le temps d’écouter quelques titres, vous pourriez comme moi être très agréablement surpris ! Et ignorez les élitistes aigris qui vont diront que vous ne pouvez pas comprendre.

Peinture

Nature morte aux pommes et aux oranges | Paul Cézanne

Je dois être honnête avec vous, j’ai beaucoup hésité avec un tableau de Claude Monet. Mais comme celui que vous pouvez voir juste au-dessus m’a ému aux larmes quand j’ai pu l’observer en vrai, j’ai su que c’était lui qui devait être présent ici. Plus largement, tout ce qui est de l’impressionnisme ou qui en découle, je suis hyper fan. Avec Cézanne, nous somme entre l’impressionnisme et le cubisme. Il s’agit d’une période de l’art que j’apprécie beaucoup, qui bouleverse les codes établis jusque-là, pleine de créativité. Il y a tellement de choses intéressantes à y découvrir, j’espère vous rendre un peu curieux.

無題 | So-bin

So-bin est un artiste sud-coréen que j’ai découvert il y a bien des années maintenant. Vous le connaissez peut-être car il illustre les romans Overlord (il s’occupe également du chara-design de l’adaptation animée). Il dit ne pas aimer le rendu du mélange des couleurs dans les outils numérique et s’essaie toujours au préalable en traditionnel, ce qui donne une patte graphique unique à ses créations. Serez-vous tout aussi envoûté que moi ?

Photographie

The Beautiful Smile | Nan Goldin

J’ai découvert cette photographe au lycée et j’ai eu la chance de pouvoir assister à l’une des ses expositions. Ses clichés sont incroyables, on est comme aspiré dedans. Entre mémoire collective et album de famille, ses photographies montrent sans détour l’état d’une époque (80’/90′) et de ses amis, particulièrement touchés par le Sida dans les années 80, ce qui la marquera ainsi que son travail. Authentiques et sincères, ses photographies nous prennent au corps, nous touchent et interrogent.

The Berlin wall | Henri Cartier-Bresson

The Berlin wall. West Berlin, West Germany, 1962 © Henri Cartier-Bresson / Magnum Photos

Et nous allons conclure cet article avec Henri Cartier-Bresson. Un autre photographe que j’affectionne beaucoup. Principalement connu pour ses photos de rue, qui dépeignent les aspects de la vie quotidienne. Vous entendrez souvent parle d’« instant décisif » pour caractériser ses œuvres. Il s’agit pour faire simple, de capturer ce moment fugace, hors du temps, d’une espèce de symbiose entre le photographe et son sujet, les formes ou le cadrage.


Et voilà, ceci conclu enfin cet article. J’espère que vous aurez découvert de nouvelles choses auxquelles vous intéresser. N’hésitez pas à m’indiquer en commentaire les œuvres qui vous sont chères, j’irais découvrir cela avec grand plaisir !

Esenjin Asakha Écrit par :

Rédacteur du site. Fondateur de l'association « Camelia Studio ». Passionné d'arts et de culture. Se pose trop de questions. Membre de la mafia nantaise. Fortement fan de Monogatari Series, Shinsekai Yori & Yorimoi.

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