2010
Panty & Stocking with Garterbelt
Une série absolument déjantée ! Avec son style cartoonesque, elle va nous raconter l’histoire de deux anges, qui doivent tuer des méchants pour gagner des points et aller au Paradis, sauf que l’une est accro aux sucreries et l’autre nymphomane. Pour couronner le tout, le prêtre qui les supervise est un pédophile à coupe afro. Oui, les bases sont posées. C’est n’importe quoi, ça va dans tous les sens et c’est ça qu’on aime !
Mardock Scramble
On quitte un univers loufoque pour quelque de chose de bien sombre ici. Pour résumer, dans l’une des premières scènes de ce film (il s’agit d’une trilogie, le second diffusé en 2011 et le troisième en 2012), on voit une prostituée enfermée dans une voiture, se faire empoisonner, on la voit mourir, souffrir, lentement. Voilà, le ton est donné, c’est pas la série de la joie, loin de là.
Durarara!!
Une série qui, comme Monogatari ou Baccano! est difficile à résumer en quelques lignes. Comme les deux séries que je viens de citer, il n’y a pas un fil rouge, une histoire dans laquelle on met des personnages pour qu’elle avance, mais l’exact inverse. On a une superposition de personnages qui vont par eux-même, finir par créer l’histoire. Pour faire très simple, on suit les mystères et divers habitants du quartier d’Ikebukuro. Une série en quatre saisons (les deux suivantes en 2015 et la dernière en 2016), juste excellente, très bien écrite, avec des génériques cools, des personnages variés et attachants, en bref, c’est à voir.
Gakuen Mokushiroku: HIGHSCHOOL OF THE DEAD
Bon, pas mal de monde va me prendre pour un fou, mais j’ai personnellement vraiment beaucoup apprécié cette série, encore maintenant, je me la revisionne régulièrement et avec beaucoup de plaisir. La seule chose qui m’attriste avec, c’est que nous n’aurons pas de suite. D’ailleurs, on en parle pas assez, mais les musiques sur cette série sont vraiment extra ! Si vous voulez de la violence et du sang (et des petites culottes), vous y trouverez votre plaisir, ahah.
2011
Nichijou
Alors Nichijou c’est très simple, c’est la série qui donne sens à l’expression « mourir de rire ». Sans déconner, la première fois que je l’ai visionnée, j’ai vraiment cru y passer tellement je n’en pouvais plus de m’esclaffer sur les scènes qu’elle me proposait.
Mahou Shoujo Madoka☆Magica
Aaah, Madoka, quelle claque cette série aussi. Du SHAFT dans toute sa magnificence. Une série qui transcende le genre magical girl. On retrouve Madoka, une jeune fille qui se verra exaucer le vœu de son choix, par une espèce de chat étrange, en échange de quoi, elle devra devenir une « mahou shoujo » et combattre les sorcières qui menacent le monde. Un pitch de base assez simpliste, mais Madoka ira beaucoup, beaucoup plus loin que cela en explorant des thématiques sensibles (parfois graves).
Ano Hi Mita Hana no Namae wo Bokutachi wa Mada Shiranai.
Simplement AnoHana pour les intimes, est une série particulièrement touchante qui va traiter du thème de la mort. On va suivre nos personnages, quelques années après le décès de l’une de leurs amies, et comment ils vivent (ou essaient de vivre) avec ce traumatisme sur la conscience. Elle aussi aura marqué une génération qui n’est pas prête de l’oublier !
2012
Shinsekai yori
Bon, alors là, on y est. À mes yeux, Shinsekai yori, ce n’est pas juste le meilleur anime qui soit, mais la plus grande des œuvres qui existent. Pas un tableau de Cézanne, pas une musique de Chopin, pas un film de Clint Eastwood ne lui arrive à la cheville. Cette série va tellement vous questionner, sur la vie, la mort, l’amitié, la famille, l’humanité, la société, l’esclavage, le pouvoir, et bien d’autres thèmes encore. Après mon premier visionnage, j’en ai pas dormi pendant plus d’un mois, tellement cela m’a travaillé. Ce n’est certes pas une série évidente à appréhender, mais elle en vaut le détour, croyez-moi. Au-delà de ça, A-1 Pictures a fait un travail fantastique, si ce n’est fabuleux sur cette série, en terme de visuel, d’animation et de musiques, avec parfois des équipes totalement différentes d’un épisode à un autre, pour toujours avoir les meilleures personnes pour transmettre ce que cet anime a à dire. Pour moi, si l’on doit voir -une- œuvre dans sa vie, c’est assurément celle-ci.
Kokoro Connect
Malgré la présence de Shisekai yori cette année 2012, d’autres ont tout de même réussi à se distinguer, c’est le cas de Kokoro Connect. On suit un groupe de lycéens qui vont régulièrement et de manière plus ou moins aléatoire échanger leurs corps. Son point fort c’est de ne pas utiliser cela pour créer des situations grotesques, mais bien pour questionner notre identité et nos relations aux autres. Une série intelligente qui mérite le détour.
Robotics;Notes
L’histoire débute au lycée, avec un club de robotique sur le point de fermer, nous allons suivre les deux derniers membres, et surtout sa présidente, tout faire pour que le club perdure et terminer le projet de robot géant amorcé par leurs aînés. En vrai, je ne saurai trop dire pourquoi, mais il m’a vraiment marqué à l’époque, il a réussi à toucher une corde sensible et il a vraiment une bonne place dans mon cœur.
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